Législatives 2012 – Fabien Feuillade, candidat à Châtenay

Fabien Feuillade sera notre candidat aux élections législatives de juin prochain. Sa candidature porte un projet cohérent, ambitieux et réaliste pour répondre durablement aux problématiques actuelles de notre société, pour mieux vivre ensemble et proposer un nouveau contrat de gouvernance qui rassemble les Français.
L’emploi, la première des priorités.
L’accroissement continu du taux de chômage impose de réagir vite et fort. Notre projet de société est créateur d’emplois à travers la relocalisation de l’industrie, le soutien à une agriculture respectueuse de l’environnement, le développement de l’emploi de services solidaires. De même, les aides publiques et l’organisation du temps de travail doivent être désormais, comme d’autre pays l’ont compris, orientées vers le maintien dans l’emploi. Le dialogue avec les organisations syndicales doit être repris et renforcé car l’emploi doit être sanctuarisé pour mieux faire face aux crises.
Changer nos modes de consommation pour réussir la diversification énergétique.
La diversification énergétique va au-delà de la seule question de la nécessaire sortie du nucléaire. Elle questionne, avant tout, nos modes de consommation. Le coût de cette mutation peut être compensé par les gains générés par une consommation responsable et respectueuse de l’environnement. Pour exemples, l’isolation des bâtiments, un aménagement du territoire cohérent, ou encore une tarification différenciée en fonction de la consommation d’eau, de gaz ou d’électricité.
Rééquilibrer les richesses.
La finance folle, les rémunérations indécentes ont montré l’absurdité de l’ultra libéralisation de l’économie. Il est urgent de mettre en œuvre les mécanismes redistributifs pour un meilleur partage des richesses dans notre société, mais aussi entre le Nord et le Sud : nous savons que l’accumulation des richesses par quelques uns au détriment des autres, conduit à des déséquilibres écologiques et économiques qui nous mènent à l’impasse. Une reforme fiscale économiquement efficace et juste socialement ira dans ce sens.
Faire de notre jeunesse un atout d’avenir.
Il nous faut refuser l’échec scolaire en sanctuarisant l’école. Il nous faut favoriser l’accès des jeunes dans l’emploi, faciliter l’accès au logement. Nous ne devons pas craindre notre jeunesse mais lui donner les moyens de s’épanouir pour qu’elle porte notre avenir commun.
Le logement : penser l’ensemble du parcours résidentiel.
Peut-on en rester à cette loi qui impose 20% de logements sociaux quand les besoins sont d’un autre ordre et que celle-ci est sans cesse détournée par des centaines de villes ? Doit-on laisser, ou pire, stimuler la loi du marché qui régule les prix locatifs et immobiliers, quand elle exclut de nos villes des franges entières de la population ?
Face à une UMP qui a sciemment organisé la pénurie de logements accessibles à tous, il convient de repenser les ponts entre le logement aidé et le logement privé pour refuser la ghettoïsation et la « Neuillysation » qui chasse les couches moyennes des territoires frappés par la crise du logement.
La moralisation de la vie publique.
Jamais le lien entre le personnel politique et la population française n’a été tant distendu. Il nous faut sortir d’une gouvernance arrogante qui met en danger les fondements de notre démocratie (parachutage avorté de Jean Sarkozy à la tête de l’EPAD, affaires des fadettes, retrocommissions, mises en examen et condamnations de ministres en exercice etc…). L’éthique en politique, l’équilibre des pouvoirs et la juste représentation de toutes les catégories sociales doivent être les piliers d’un nouveau contrat avec les Français.
Moderniser les transports dans les agglomérations.
L’Etat ne peut plus être absent. Il ne peut plus se contenter de proposer des plans de développement à 40 ou 50 ans, il ne peut ignorer l’urgence de la modernisation du réseau existant et la desserte des zones urbanisées qu’il faut renforcer. L’état du RER B en est le symbole sur nos territoires.
Des services publics modernes et innovants.
Martyrisés par le quinquennat Sarkozy et l’épée de Damoclès imposée par la Révision Générale des Politiques Publiques, il faut redonner confiance aux professeurs, aux policiers, aux personnels des hôpitaux, il faut donner de l’avenir aux personnels des collectivités territoriales au contact direct des populations. Il faut arrêter la stigmatisation permanente pour, au contraire, redonner confiance et redonner du sens aux services publics car le service public doit être une force pour notre pays. L’initiative et l’innovation doivent y être encouragées.
Porter une vision européenne et internationale qui intègre le sens de l’histoire.
Il n’y a pas d’affaiblissement de la France quand l’Europe est renforcée. Non pas une Europe 
ultra libérale mais une Europe protectrice des droits fondamentaux avec des politiques coordonnées faisant face aux équilibres globaux du monde actuel. Il n’y a pas d’affaiblissement quand la France porte haut les valeurs des droits de l’Homme et de paix dans le monde !
Fabien Feuillade a 35 ans et est cadre territorial – responsable administratif et financier. Il est marié et a deux enfants
Il est conseiller Municipal d’Antony et Conseiller Communautaire des Hauts-de-Bièvre, la communauté d’agglomération dont fait partie Châtenay-Malabry.
Outre l’investiture d’EELV, Fabien Feuillade a reçu le soutien du PRG, de «défi pour Antony» et de « Citoyens à Antony ». Sa candidature peut être qualifiée comme étant celle du Rassemblement Écologiste, Socialiste et Citoyen.
Son site de campagne :

www.fabienfeuillade2012.com

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